Nous avons le droit à un mélange de plusieurs mécaniques que nous connaissons bien dans le milieu du jeu indépendant. Tout d’abord le côté survie avec un système de craft pour pouvoir survivre, bien évidemment, chaque outil dispose d’une durée de vie. Beaucoup de choses se débloquent au fur et à mesure que vous obtenez les outils nécessaires à l’obtention de certaines ressources, certaines recettes se débloquent également après avoir obtenu de nouvelles ressources.
En ce qui concerne le personnage, vous avez un système de vie ainsi que d’endurance qui baisse à la moindre action (hormis les sauts et la simple marche). Il existe aussi un système de faim qui, lorsque votre personnage commence à avoir faim, impacte le maximum de votre barre d’endurance.
Il en va de même pour le monde du jeu qui est généré de façon procédurale. C’est un peu la marque de fabrique de ce genre de jeu où la re-jouabilité est relativement grande avec un monde ouvert. Chaque acte dispose de son propre archipel d’îles et de son monde marin. C’est pour cela que les développeurs le qualifient plutôt comme étant un mélange de jeu d’aventure et de survie, lui permettant de sortir clairement du lot sur ce plan là. Deux modes de difficultés sont disponibles, le premier vous fait seulement recommencer l’acte en cours, alors que le second vous fait perdre la quasi-totalité de vos objets et vous fait revenir à l’acte 1.
Merci pour ton test. J’ai apprécié car tu dis ce qui doit être dit, sans compter que les différentes captures permettent de mieux se situer quand, comme moi, on connaît très peu le jeu.
Merci à toi surtout pour ta lecture et ton commentaire. 🙂