[TEST – SWITCH ] – Samuraï Warriors 5 – La jeunesse d’Oda Nobunaga !

- Date de sortie : 24 juin 2021
- Genre : Action
- Plateformes : Switch, PS4, Xbox One et PC
- Développeurs : Omega Force
- Editeur : Koei Tecmo
- Prix : 69,99 €
- PEGI : 16
- Langue Texte : FR
- Voix : Japonaises
Bien le bonjour à vous, chers lecteurs.rices ! Aujourd’hui, nous nous retrouvons encore pour un nouveau test sur le blog et plus précisément sur un genre de jeu que nous nommons : “Musou”. Il s’agit du jeu Samuraï Warriors 5 qui passe sous la patte de notre très cher Akihito (vous savez, la mascotte du blog qui se montre à la fin de chaque test. ) J’avais brièvement effleuré la licence des Samuraï Warriors, mais vu que l’opus est enfin traduit en français, j’ai franchi le pas.
Ce test sera celui qui bouclera cette grande lignée de tests. Ne vous inquiétez pas, cette pause sera courte, car il risque d’en avoir à nouveau d’ici le mois de Septembre ! Sans plus attendre, commençons !
Pour une fois, l'histoire est fort sympathique !

Oui, au vu du titre, ce Musou dispose bel et bien d'une histoire bien sympathique. Souvent le scénario dans ce genre de jeu est relativement léger et donc inintéressant, mais dans Samuraï Warriors 5, ce n'est pas du tout le cas. Cela n'est pas non plus quelque chose d'unique en soi, mais cela donne toujours l'envie de continuer celle-ci.
Nous suivons la jeunesse d'Oda Nobunaga qui souhaite la réunification du pays et ainsi arrêter les batailles qui ravagent les terres japonaises durant l'ère Sengoku. Néanmoins, nous allons suivre l'avancement, ou plutôt le plongeon de notre guerrier au sein des ténèbres et ainsi lui permettre d'être surnommé le Démon.
La nervosité, la clé du gameplay !
Les musou fleurissent de plus en plus, que ce soit dans ses licences principales avec les Dysnasty, Samuraï ou encore Warriors Orochi, voire dans des licences connues comme The Legend of Zelda ou encore Dragon Quest.
Le noyau dur du gameplay est le même dans tous ces opus, c’est dégommer du soldat comme des généraux ! Plus précisément dans ce cinquième Samuraï Warriors, vous pouvez contrôler en majeure partie, deux généraux que vous contrôlez à votre guise durant les différentes batailles (la touche Select vous permet de changer de personnage). Chaque personnage dispose d’une ou plusieurs armes de prédilections, mais vous pouvez jouer toutes les armes possibles et d’ailleurs, les officiers sont 37 au total, moins que l’opus précédent. Chacun dispose d’un arbre de compétence unique, ce qui permet d’avoir des personnages aux profils variés en termes de statistiques. Vous pouvez également attribuer à chaque personnage quatre capacités, soit offensive ou de soutien (augmenter l’attaque par exemple).
Vous disposez également d’un château que vous améliorez au fur et à mesure que vous avancez dans le jeu. Il faudra jouer dans le mode dédié pour pouvoir drop des matériaux nécessaires aux améliorations ou simplement les acheter au marchand durant le mode Musou (histoire). Le système d’objectifs à accomplir durant les missions ainsi que l’obtention de bonus est intéressant, notamment grâce au changement d’officiers vous permettant d’agir au millimètre près. Certains objectifs sont verrouillés, et nécessite donc de refaire la dite bataille en mode libre.
Toujours un peu en retard techniquement, mais il y a du mieux !
Samuraï Warriors 5 dispose d’un panel de chara-designvraiment aux petits oignons. Déjà, si vous êtes habitués à la licence, oubliez toutes les anciennes apparences de nos officiers préférés. Puisque nous suivons la jeunesse d’Oda Nobunaga, vous allez voir quelques noms connus, mais eux aussi plus jeunes et donc, avec des tenues différentes. Même si les personnages sont moins nombreux, la variété est de mise et bon dieu ça fait tellement plaisir ! L’Iinterface utilisateur est intéressante, mélangeant simplicité durant les batailles et traditionnel japonais avec les menus principaux à base d’encre.
C’est de surprise en surprise que nous continuons, car le jeu s’avère être très bon niveau technique et dispose même d’une framerate pas trop vilaine. Alors que nous avons le droit à un jeu ayant beaucoup d’unités et d’une console qui souffre parfois de son manque de puissance.
Le casting des doubleurs est vraiment bon avec notamment des doubleurs que je connais, notamment Kenjiro Tsuda (Nanami dans Jujutsu Kaisen, Dainsleif dans Genshin Impact, Overhaul dans My Hero Academia, etc…) ou encore Takaya Kuroda qui est connu pour être la voix de Kazuma Kiryu dans la saga des Yakuza.
Finalement,qu'en est-il de ton premier Samuraï Warriors 5 ?
Un jeu parfait n’existe pas, mais c’est ce qui permet de faire le charme d’un jeu. Légèrement lassé par les musou, ces derniers temps, Samuraï Warriors 5 a su raviver ma passion pour le genre. En effet, on se retrouve avec un jeu relativement solide au niveau du scénario comme au niveau de la technique. On ne peut nier quelques retards sur le plan technique avec une caméra affreuse et une difficulté trop vieillissante qui en devient agaçante. Le boulot qui a été fait sur cet opus est de qualité et je suis bien content de retrouver un musou sur lequel j’ai pris un réel plaisir à jouer. Actuellement, j’ai fait uniquement la trame principale d’Oda Nobunaga qui est pour moi la plus intéressante, mais je compte bien faire le jeu à 100 % !
Merci à Koch Média pour avoir fourni une copie pour le blog et également à Miyoki pour avoir relu le test.
Bonne journée à vous et merci d’avoir pris le temps de lire ce test !
- Les points positifs
– Une gameplay dynamique qui garde les origines du genre !
– Un scénario vraiment intéressant axé sur le démoniaque, Oda Nobunaga !
– Une direction artistique réussite !
– Enfin en Français et les voix japonaises !
- Les points négatifs
– Une caméra capricieuse
– Moins de personnages jouables que son prédécesseur
